6.12.05

"Le privilège"

"Depuis deux jours, je n'en dors pas.
Est-ce qu'ils m'accepteront encore?
Apprendre que leur enfant se croit
Etre un étranger dans son corps.
C'n'est pas comme avouer un mensonge,
D'ailleurs, je n'ai pas honte de moi.
C'est crever l'abcès qui me ronge
Et finir en paix avec moi."

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Beaucoup de souvenir pour moi cette chanson...
Merci Michel Sardou!
Sauf que moi c'était plutôt pour:
"Derrière les murs de ce collège
Ceux qui font tourner les manèges
Se sont-ils posé la question
Y a-t-il un Dieu qui nous protège
Une différence un privilège
Qu'est-ce qu'ils vont dire à la maison
Un garçon qui aime un garçon"

Au moins mon père il a comprit avec ca.

Anonyme a dit…

franchement je n'en pouvais plus , le jour où j'ai dit pourquoi ça n'allait pas , et que j'étais mal à en crever à mes parents, ça a été bcp mieux ensuite, tout n'était pas fini, mais au moins mes parents savaient à défaut de comprendre tout de suite. avec l'amour , ils passeront au dessus de ça, tu n'es pas seul, et ce n'est pas un désordre psychiatrique, c'est comme ça . Si tu es sur que c'est ça, dis leur, tu seras soulagé et plus fort pour la suite !
bon combat , c'est ta vie qui est en jeu !
esté

Anonyme a dit…

Tiens c est "marrant" que ce pti bout de phrase soit la... c est le meme qui trotte dans ma tete...